Revue de presse
« La première partie de la pièce est éminemment documentaire, révélant, en paroles multipliées, les réalités administratives et organisationnelles de ces «no man’s lands».
Ensuite dans un deuxième temps, et c’est en cela qu’elle est réellement du théâtre, elle s’intéresse davantage aux réalités humaines de ces lieux, celles aussi des intervenants, et surtout se focalise sur deux destinées particulières qui se croisent et se rejoignent, celle de Tina, une jeune femme d’origine géorgienne bientôt française, qui y travaille comme intervenante pour une association, et celle de Jamal ou Adil ou Karim, un personnage étrange, habitué des lieux, refusant de préciser sa nationalité.
Mais, et c’est le propos original de la pièce, faisant de ce refus d’appartenance nationale comme une proclamation de liberté, au prix même de cette liberté. Il est devenu un apatride auto-déterminé. L’émotion, l’empathie, la réflexion – le théâtre donc – succèdent à l’exposé documentaire. »
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« L'association Bouche-à-Oreille a souhaité maintenir, ce jeudi 7 janvier, les répétitions, à la Bam, du projet Bim Bam Boum, un événement qui aurait dû être présenté au public ces 8 et 9 janvier. Le principe ? Offrir une carte blanche à dix compagnies de théâtre et de danse de Metz, avec, pour seule contrainte, qu'elles créent des formes courtes inspirées des Légendes urbaines, ces petits magazines qui rassemblent des récits de vie, des dessins et des photos d'habitants de quartiers de la ville. »
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« Une adaptation inédite de la correspondance de Bernard-Marie Koltès. »
Interview vidéo
« Jean de Pange porte, de sa seule voix, cette invitation à voyager dans l’œuvre et la biographie de Koltès, au milieu des livres, sur une petite estrade de la salle des fêtes. Nous découvrons les débuts dans l'écriture du jeune Bernard, avec une carte de vœux écrite en 1955 à ses parents. [...] Ce n'est pas le répertoire mondain, théâtral ou littéraire des relations de l'auteur que nous suivons, mais bien plus le contenu de sa pensée, de ses inquiétudes, de ses espoirs... »
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Moi, Bernard
« Tout amateur de théâtre connaît, a vu ou applaudi au moins une de ses pièces : La Nuit juste avant les forêts, Combat de nègre et de chiens, Roberto Zucco, Dans la solitude des champs de coton... S'emparant de sa correspondance, Jean de Pange nous plonge avec tendresse et délicatesse dans les méandres de la vie de cet homme et dramaturge au destin si singulier ! »
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« L'espace est celui du théâtre, nulle illusion : on est ici. La parole s'adresse au lieu où nous sommes, pas d'artifice. C'est déjà le premier geste de l'acteur : nous accueillir dans l'ici et maintenant de ce qui va s'exposer sans fard. »
« Le spectacle est très bien construit, avec des changements de rythme très justes, pour évoquer les doutes, les recherches, l'exaltation, le découragement, les échecs, les réussites. »
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« Au plateau, Jean de Pange est le porte-voix de BMK que dirige Laurent Frattale qui signe la mise en scène. C'est à partir de la correspondance qui sera éditée à titre posthume que se construit essentiellement Moi, Bernard. Lieu de l'intime dévoilé qui dévoile moins l’œuvre qu'elle ne renseigne sur les étapes de la vie de Koltès. »
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« Pour Jean de Pange, le challenge dramaturgique s’est révélé ludique : Bernard-Marie Koltès, faiseur de personnages, devient, par ses propres mots, le protagoniste. [...] Le spectacle, mi- conférence et mi- représentation, est une proposition poétique et biographique qui ne cesse d’interroger la place du théâtre dans la société. »
« C'est un monologue, une adresse au public, selon l'âge de l'auteur. Les destinataires des lettres ne sont pas portés à la connaissance du spectateur qui, du coup endosse le rôle de confident et interlocuteur. »
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Moi, Bernard
« Passionné et sincère [Jean de Pange] nous entraîne dans une conférence théâtralisée [...] nous avons été touchés par la sincérité et le talent de l'acteur, mais aussi par la finesse du portrait dressé. »
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Moi, Bernard
« Jean de Pange apporte une réponse qu'il puise dans ce qui a été au cœur de la vie de cet homme, son écriture, et plus particulièrement, ses lettres dont l'essentiel du texte est constitué. »
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« Conte cruel, certes, tant les galères s'accumuleront en France, tant son pays lui semble figé dans une culture de la peur [...] mais Richard Mahoungou possède une telle gouaille et une telle force de caractère qu'il en tire des moments savoureux et jubilatoires. »
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« Dans ce jeu progressif des réitérations, Bernard Koltès vient dévorer le corps du commentateur narrateur.Comme une mirage intérieur de l'interprète. Une possession. Le spectateur applaudit cette proposition de théâtre rigoureux et simple qui refuse les facilités. »
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« Même si je prends en charge le je de Bernard, je reste bien moi au plateau. »
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« Ce qui m'a d'emblée frappé c'est la coexistence d'une fable morale très assumée et d'une dramaturgie d'une grande modernité. »
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« Jean de Pange propose un Rake's Progress inventif et soigné. »
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Je t'écris mon amour
« Une nouvelle version des romances épistolaires 4.0. »
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Moi, Bernard
« C'est lui qui m'a donné envie de faire de la mise en scène, c'est le premier auteur que j'ai monté.... »
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Ma Nostalgie
« Les élèves [peuvent] voir que l'on peut être fier de ses origines et accepter son histoire. »
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Table ronde à laquelle Jean de Pange a participé
(deuxième partie, à partir de 33 minutes).
La Tragique et mystique histoire d'Hamlet
« Durant deux heures trente, ce chœur de six acteurs-conteurs reste en scène. Chacun incarnant plusieurs des dix-huit rôles de la pièce, tous prenant en charge le récit d'Horatio racontant l'histoire d'Hamlet. »
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Interview de Jean de Pange
« _Face à votre travail, on parle beaucoup de scène épurée comme une signature. C'est une volonté de remettre le comédien au premier plan ?
_Oui, on peut dire cela, c'est une signature. Il y a de cela, cette volonté de responsabiliser l'acteur. »
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« La manière dont les deux partenaires reviennent sur leur dire, bégayent leur désir ou essayent de comprendre du mieux qu’ils peuvent la puissance de ce qu’il leur arrive se sculpte dans une prose sensible et profonde. Les deux comédiens la font vivre avec force et élégance. »
Entretien radiophonique avec Céline Bodis et Jean de Pange
Interview de Jean de Pange
« Quand on pense Astrov, on pense souvent Molière [...] il serait pourtant bien réducteur d'associer au répertoire classique la compagnie. Bien réducteur aussi, d'en oublier les mises en scène, magnifiquement épurées. »
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Je t'écris mon amour
« Le langage devient un prétexte à l’amour, celui des corps qui s’enlacent lors des retrouvailles ; avant que les amants ne se taisent finalement dans l’union de leurs souffles, au sein d’un happy end qui évite l’écueil rebattu du ''c’est mieux sans te voir'' .. »
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« Derrière, en fond de scène, un écran nous fait lire ces SMS, ces messages envoyés virtuellement, la nuit, le jour, de plus en plus fréquemment à leur en faire tourner la tête. »
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Entretien radiophonique
« Une illustration enlevée du texte d'Emmanuel Darley, commandé et mis en scène par Jean de Pange qui interprète Lui et a trouvé en Céline Bodis son Elle parfaite ! »
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Interview télévisée
« Subtile réflexion sur le sentiment amoureux à l’ère d’Internet, la pièce s’achève par la rencontre in real life des deux protagonistes. Que va-t-il se passer ? »
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« Céline Bodis, merveilleuse dans son application sans faille à faire vibrer la Langue et la Sensibilité d’Emmanuel Darley, est, toute en réserve, la fragilité même, qui ne gêne jamais les autres. Parce que je connaissais Emmanuel, Jean de Pange m’a - quant à lui - paru prendre un parti plus élancé, électrique, transcendant l’aspect électronique de la correspondance en portant davantage l’attention sur lui, que Darley ne l’aurait fait lui-même. »
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« La pièce va au-delà d’une simple relation amoureuse télématique. Elle développe la construction mentale d’un imaginaire, l’idéalisation de l’autre aussi bien sur le plan sentimental que sur le plan sexuel. Chacun vit sa passion dans son monde intérieur et s’installe dans le confort d’une fuite de la réalité. »
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« Le théâtre que prône Jean de Pange, un théâtre libéré de l'injonction à esthétiser qu'il présentait déjà dans une éclatante rigueur avec Tartuffe. »
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« L’écriture d’Emmanuel Darley est de celles qui se démarquent des textes de théâtre uniquement conçus comme matière à jouer. Cadencée, précise, à la fois tenue et vivante, évidente et nécessaire, elle appartient au champ des Lettres. Avec un grand L. »
Extrait du texte.
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« Il y a dans le titre même de la première pièce, justement, la volonté sans doute de poser la question conjointe d’une écriture dramatique repensée et de son objet. Je t’écris mon amour sans mettre de virgule entre le verbe et ''mon amour'' montre bien qu’il ne s’agit pas là d’une simple adresse, d’une déclaration à quelqu’un, mais de s’engager dans la révélation du comment écrire cela aujourd’hui, dans un texte contemporain. »
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« Les spectateurs sont si proches des acteurs qu'ils font finalement eux aussi partie du décor, voir du jeu. »
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Champ de mines
« Champ de mines est une pièce spécialement conçue, dans sa forme et son contenu, pour un public d'élèves que le théâtre ira rejoindre dans ses classes le temps d'une heure de cours. »
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Champ de mines
« Jasna et Emina sont meilleures amies du monde dans cette Yougoslavie post-Tito. Mais dans les années 90, la guerre éclate. Les différentes populations se sont désormais face. »
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« La pièce [...] mêle réalité et fiction ; elle tisse des liens entre la grande et la petite histoire. »
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« Céline Bodis et Jean de Pange resteront assis côte à côte, derrière un grand bureau, à l’exception de quelques déplacements à l’avant-scène. Ils apportent, avec une justesse de ton, ce qu’il faut de légèreté, voire d’humour, pour permettre au spectateur de souffler. »
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Interview de Jean de Pange
« J'ai toujours été intéressé par le théâtre dit documentaire. Le théâtre qui s'inspire de la réalité. »
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« Je ne voulais pas de scénographie car je cherchais autant que possible à échapper à toute re-présentation de l’œuvre. Je veux dire, échapper à la nécessité de produire un ''discours sur''. »
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« Nous arrivons dans la salle, les fauteuils disposés en carré forment un cadre à la pièce. Une table siège en son centre. Ses côtés reflètent différentes faces de l’intrigue et dans chaque angle se crée une situation comique. »
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« Je ne voulais pas de scénographie car je cherchais autant que possible à échapper à toute re-présentation de l’œuvre. Je veux dire, échapper à la nécessité de produire un ''discours sur''. »
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« Je ne voulais pas de scénographie car je cherchais autant que possible à échapper à toute re-présentation de l’œuvre. Je veux dire, échapper à la nécessité de produire un ''discours sur''. »
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Il avait été invité par le Théâtre des Bernardines à Marseille en mars 2010 pour le spectacle Crabe Rouge. Histoire de fantômes, histoire hantée par le souvenir de la guerre civile de Congo-Brazzaville… Richard Adam Mahoungou n'est jamais reparti. Depuis avril 2011, il a le statut de réfugié politique. Avec Jean de Pange, il a mis au point un texte et s'adresse au public assez proche. Fascinant moment où le témoin est aussi acteur, où l'acteur raconte sa propre vie. Une manière de dire l'histoire et les douleurs de l'exil forcé.
« Ce qui est intéressant quand on monte une pièce classique, c'est la digestion, ce qui nous sépare d'elle. »
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Understandable?
« L'enjeu de Understandable? n'est pas simplement de confronter des différences et de soulever les quiproquos qui en résultent, mais de provoquer le surgissement de forces immatures, puissantes et déliées des contraintes du réel. »
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Understandable?
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Dom Juan
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Moi, Bernard
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« Transit, un pièce qui met en scène les espoirs, les persécutions et l'errance des demandeurs d'asile venus de l'est d'Europe. »
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